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fleuve NIGER

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PHASE 1

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I

Contexte

Lors de la table ronde des bailleurs de fonds de l’Autorité du Bassin du Fleuve Niger (ABN), sur le Plan Quinquennal Prioritaire d’Investissement 2008-2012, tenue le 23 juin 2008 à Niamey, la République Fédérale d’Allemagne à travers la KfW, s’est engagée à financer le Projet de Protection des Berges du Fleuve Niger au Mali.

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II

Montage technique et institutionnel

• Désignation : Projet de Protection du Fleuve Niger Phase I ;
• Bénéficiaire : l’Autorité du Bassin du Fleuve Niger (ABN) ;
• Promoteur : la Direction Nationale de l’Hydraulique (DNH ;
• Partenaire : la Direction Nationale des Eaux et Forêts
• Superviseur : la Structure Focale Nationale (SFN) de l’ABN.

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III

Montage financier

La KfW accorde à l’ABN un Apport Financier non remboursable de 10,00 millions d’euros (6 559 600 000 F CFA) ; L’ABN cède 8,70 millions d’euros (5 706 852 000 F CFA) de l’Apport Financier à la Direction Nationale de l’Hydraulique. IV. Zone d’intervention du Projet : les cercles de Kangaba, Kati et Koulikoro.

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IV

Zone d’intervention du Projet

les cercles de Kangaba, Kati et Koulikoro.

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V

Description du Projet

5.1 Objectifs du projet :
Contribuer à la sauvegarde de l’écosystème du fleuve Niger par la réduction de l’ensablement et de l’érosion hydrique à travers l’expérimentation de mesures de protection des berges et l’implication des communautés rurales concernées.

5.2 Les composantes du projet :
• Protection des berges ;
• Protections des bassins versants immédiats ;
• Appui institutionnel ;
• Mesures d’accompagnement.

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VI

Etat d’exécution du Projet

• Démarrage des prestations de l’Ingénieur Conseil : second semestre 2012 ;
• Protection des berges : 738 m ;
• Plantations sur la berge : 16 000 plants ;
• Mise en défens : 1,5 ha ;
• Elaboration des documents de projets : 11 APS pour la protection des berges, 4 contrats signés et 3 APS pour les aménagements de bassins versants.

Difficultés rencontrées

• Le retard dans l’attribution des marchés de travaux des sites de Souban et de Kangaba ;
• La faible mobilisation des bénéficiaires ;
• Le faible taux de réussite des plantes.

Solutions proposées

• Simplifier le processus d’approbation des marchés ;
• Mettre en place et former des comités de gestion avant le démarrage des travaux ;
• Mettre en terre des plants au moment opportun.

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